Réjean Girard nommé président du C.A. de Développement Chibougamau
Développement Chibougamau accueille un nouveau président et deux nouveaux membres sur son conseil d’administration (C.A.).
Développement Chibougamau accueille un nouveau président et deux nouveaux membres sur son conseil d’administration (C.A.).
Romeo Saganash dit aimer son travail de député, mais ça va quand même s’arrêter là en 2019, on dirait bien.
Stéphane Asselin est entré en poste en novembre pour la Société du Plan Nord, alors que le processus d’embauche du poste avait débuté cet été.
Si la relève entrepreneuriale en exploration minière souhaite faire sa place, elle doit d’abord et surtout s’entourer de gens compétents.
Alors que la morosité économique ronge le secteur minier québécois, certains analystes financiers demeurent, au contraire, optimistes face à l’avenir à court et à moyen terme.
Depuis quelques années, Ressources Métanor de Val-d’Or est passée de société d’exploration junior à société d’exploitation minière. Sa transition, qui n’a pas été facile, pourrait servir d’exemple à d’autres sociétés québécoises.
Malgré la volonté du gouvernement Couillard de stimuler les projets miniers dans le Grand Nord québécois, les travaux d’exploration demeurent coûteux. Quelques solutions pourraient pourtant soulager le fardeau des sociétés juniors.
Si les Premières Nations peuvent devenir de bons partenaires dans le développement d’un projet minier, le dialogue reste difficile à établir et tout autant à maintenir.
Un camion de pompier de Châteauguay a été impliqué dans un accident qui a fait trois blessés alors qu’il répondait à un appel d’urgence concernant une collision la veille du jour de l’An.
Après la santé et sécurité au travail, puis le respect de l’environnement, le développement minier est maintenant à l’heure de la collaboration entre les entreprises.
Si l’industrie minière tourne présentement au ralenti, c’est en partie à cause d’une croissance trop rapide qui a été mal gérée. Il n’est cependant pas trop tard pour renverser la vapeur.
Face aux difficultés qu’éprouvent les sociétés juniors à obtenir du financement, un chercheur propose une solution audacieuse: permettre les conflits d’intérêt.
Signe d’une reprise qui tarde toujours à s’amorcer dans le secteur forestier, l’Abitibi-Témiscamingue a perdu 169 emplois dans ce domaine en 2015.
«Bien que 2015 ait vu le Québec remonter de la 18e à la 6e position comme meilleure juridiction minière au monde où investir, il reste du chemin à parcourir pour retrouver la 1re place qu’il a occupée de 2007 à 2010.»
Il n’y a pas qu’Osisko pour qui le fait de miser sur des redevances s’est révélé un pari payant. En l’espace de six mois, la société valdorienne Abitibi Royalties a conclu pas moins de 10 ententes grâce à son Royalty Recherche.
Pour une troisième fois d’affilée, Goldcorp s’est vu inscrite parmi les 100 entreprises inscrites à la bourse électronique NASDAQ les plus impliquées envers le développement durable.