L’avenir minier en 15 formations

Avec des taux d’emploi qui dépassent les 90 %, le génie géologique, la technologie minérale et la mécanique de machines fixes demeurent les formations qui présentent les meilleures perspectives au niveau de l’emploi dans les mines en 2016.

Dans quelques jours, les élèves de secondaire 5 devront choisir leur programme de formation. Histoire de montrer l’éventail des possibilités de carrières dans le domaine minier, l’Institut national des mines du Québec (INMQ) a convenu de dresser la liste des programmes de formation les plus en demande par les employeurs.

Cinq formations arrivent en tête dans la formation professionnelle: Mécanique de machines fixes, Mécanique d’engins de chantier, Mécanique de véhicules lourds routiers, Extraction du minerai et Conduite de machines de traitement du minerai. En 2013, année la plus récente pour les statistiques disponibles, le taux d’emploi pour ces formations allait de 93,4 % à 80 %.

Au niveau collégial, la Technologie minérale arrive en tête, avec un taux d’emploi en 2014 de 95,2 %. Ce programme est suivi de la Technologie de maintenance industrielle, de la Technologie du génie civil, de la Technologie de l’électronique industrielle et des Techniques de génie mécanique. Les taux d’emploi vont de 90,5 % à 85 %.

Enfin, au niveau universitaire, les programmes aux meilleures perspectives, selon les données de 2013, sont le Génie géologique (taux d’emploi de 94,4 %), le Génie minier (93,8 %) ainsi que le Génie métallurgique et des métaux (90,9 %).

L’INMQ a aussi inclus les Sciences de la terre et la Géologie dans le palmarès des formations universitaires, avec des taux d’emploi respectifs de 100 % et 90,9 %. Cependant, elles présentaient aussi, en 2013, des taux de chômage de 33,3 % et 21,4 %. La décision de les inclure a été justifiée par le fait que 40 % des diplômés en Sciences de la terre et 25 % des diplômés en Géologie se sont déclarés aux études.

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