SOCIÉTÉ. On les a traités de bébés gâtés et même de génération bouc émissaire. Maintenant que les boomers vieillissent, ceux-ci risquent de coûter cher aux générations qui suivent. Une lourde facture attribuable aux gouvernements qui auront trop longtemps joué à l’autruche, croit le directeur de la FADOQ, Danis Prud’homme.