«Vache folle», «Deux gros débiles», «L’Agace-Pissette»: les microbrasseries reconnues pour leurs marques farfelues

MARKETING. Pendant longtemps, l’originalité des noms et des étiquettes des bières faisait presque à lui seul le travail de marketing pour les microbrasseries québécoises. Mais maintenant, pour se démarquer en tablettes, les brasseurs doivent penser stratégie.

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Historiquement, pour les avoir rencontrées, pour les connaître un petit peu, c’est des gens pour qui le marketing c’était un mot maudit. Parce que faire du marketing, c’était faire Molson, c’était faire Labatt», se souvient Luc Dupont, professeur de marketing à l’Université d’Ottawa.

Le spécialiste en publicité est le premier à avoir parlé de marketing aux microbrasseries du Québec, lors d’un congrès. À cette époque, il y avait peu ou pas de stratégie de marketing dans l’industrie. Néanmoins, la créativité débridée, encouragée et bien présente dans ce milieu, a suffi à faire le travail de vente, indique M. Dupont

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